éditorial Yannick Foucaud

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Cadre santé à l’hôpital : Veut-on tuer une profession ?

Une rencontre, des discussions avec une profession mal connue du grand public car agissant dans l’ombre. De femmes et des hommes indispensables à un fonctionnement car ils organisent, parfois avec de très grandes difficultés, le travail de celles et ceux qui sont dans la lumière. Billet d’humeur :  

Samuel Paty est-il mort pour rien ?

À l’occasion de ce sondage qui interpelle, il est grand temps de se réveiller et de prendre conscience que le mur se rapproche à grands pas. De quelle société voulons-nous ?

A tous les lecteurs de Petite République….

31 décembre 2020 dans la soirée. Tout va mal. Cette année 2020 vraiment pas cool ! Partout où l’on regarde, ça donne vraiment pas envie, alors vivement l’année prochaine. Les 12 coups de minuit sonnent. J’embrasse mes 5 proches réglementaires autour de moi dont 4 virtuellement, covid oblige. J’ose simplement embrasser ma femme. Quel courage ! Cela ressemble plus à un rituel qui nous vient du passé plutôt que d’un acte affectueux comme à l’accoutumé. Faut se rendre à l’évidence on est en 2021 et l’on se sent toujours aussi « démuni » qu’en 2020, pour ne pas employer un mot à la Brassens : Quand on est …

Hommage à toutes les artistes et à une culture moribonde (vidéo)

On nous dit que c’est pour notre bien alors cela doit être vrai puisqu’on nous le dit. Les comédien.es sont descendus des planches en espérant qu’ils ne se retrouvent pas coincés entre 4, les danseur.es ont changé de chaussons, les chanteurs se sont tus et le monde enfermé dans une soumission virale ne vit qu’à travers les réseaux sociaux ou une virtualité malsaine.

Réparer la République avant de la glorifier

Mais voilà lorsqu’on se tourne vers notre République salvatrice pour qu’elle guérisse tous nos maux on ne peut que constater qu’elle est bien malade et son affaiblissement, qui tend à devenir chronique, l’empêche de jouer son rôle de rassembleuse, son rôle protecteur telle une mère envers ses enfants.

Quand le ridicule va finir par nous tuer… plus que le virus

Et des exemples se succèdent ainsi dans l’absurdité d’oukases généralistes qui ne tiennent pas compte de la réalité du terrain et qui ne font pas appel à l’intelligence humaine ou au bon sens paysan qu’il serait temps de retrouver dans cette période si particulière. Un technocrate énarque possède-t-il du bon sens paysan ? On se le demande parfois !

Apprendre ou ré-apprendre les règles de vie en société

Il ne se passe pas une journée où en consultant la rubrique des faits divers ou les sujets de société dans nos divers journaux, on ne soit confronté à ce que l’on appelle avec facilité : Les incivilités. On se moque éperdument du grand banditisme ou des attaques de banque qui nous paraissent si lointaines. Ce sont les incivilités qui nous pourrissent la vie au quotidien et qui nous sont devenus insupportables et inacceptables. Il s’agit bel et bien d’insécurité et non de sentiment d’insécurité comme on aimerait nous le faire croire.

Et tout ça pour rien ! Avant, pendant et après mais dans quel ordre?

« Oublier et passer à autre chose » est certainement la citation qui convient le mieux à nous tous, gaulois réfractaires, comme aime à nous traiter notre cher président du haut de son olympe jupitérienne. C’est vrai que globalement nous avons été sérieux dans l’application des mesures qui ont été mises en place par nos gouvernants pour notre bien, car c’est bien de cela dont il s’agit, on veut notre bien et nous ingrats on ne s’en rend même pas compte.

Le « monde d’après », une supercherie ?

La pandémie est arrivée sans que l’on s’ y attende, sans que l’on n’y soit préparée à tous les niveaux. Des politiques défaillants tant l’impréparation était grande et des citoyens pris dans la tourmente d’une vie absurde, souvent vide de sens.

Quand le local prend le pas sur le national : Un tournant irréversible ?

Dès le début de la crise, l’état nation a montré de grandes failles dans la gestion de la pandémie que ce soit au niveau de l’anticipation ou même de la gestion. Des mensonges ou omissions sont venus s’ajouter à ces faiblesses ce qui a eu pour conséquence d’altérer la confiance des français envers nos dirigeants. La nature a horreur du vide et c’est par un principe simple de substitution que les niveaux locaux ont pris la main sur les services de l’Etat pour résoudre les problèmes d’une manière très pragmatique.

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