ARREDALH fêtait ses 10 ans de chansons vendredi 7 octobre à Luchon !

Eric Fourcadet au piano, Wilfried et Mathieu du groupe Arredalh

10 ans de chansons et la sortie du 2ième CD pour le groupe Arredalh :

« Un vilatjot, un estanquet, enten era votz deths cantaires » (« Un petit village, un comptoir, écoutez la voix des chanteurs »)

  • voici les premières paroles de la chanson éponyme du tout nouveau CD de « ARREDALH ». De la plume de Wilffried Abo, qui vient nous raconter : « Commingeois, de Muret ou du Val d’Aran. Commingeois de Luchon, de Saint Bertrand. Commingeois, wisigoth ou aquitain, ton parlé est occitan ! » 
  • 15 chansons, à chanter et à danser, composées par les deux comparses du groupe Arredalh. Dans le prolongement  des troubadours d’hier, d’aujourd’hui, des frères Apiou, de Joan de Nadau, portés par la vague de la culture gasconne, pyrénéenne et commingeoise.

Arredalh, « le regain » à offert un cru coloré, charpenté, fort à l’oreille et en bouche. Une belle soirée où Mathieu et Wilfried avaient réuni sur scène leurs amis de partages musicaux et culturels. Dans la salle nombreux étaient ceux qui étaient venus pour partager, écouter, danser et montrer leur attachement à cette amitié de tant d’années.

Joan de Nadau, celui qui, sous son béret, éclaire le chemin, tracé par d’autres, de cette culture commingeoise, qui leur est si chère. Lui aussi souhaitait partager ce moment, participer à la fête, humblement apporter sa voix dans « Un pais de goeher » la chanson emblématique du groupe.

Ce soir d’anniversaire il y avait des amis, la famille, personne n’a été oublié. Même les petits derniers sont montés sur scène, Aventin et Guilhem, les mamans Emilie et Marie. Les voix des Aireteres ont donné le ton en début de soirée, prolongées par les présences d’artistes comme Eric Fourcadet, Joan de Nadau, Pierre et Jean-Marc Apiou, Mathieu Emportes, Julien Denard, Philippe Reuge, Pierre Rouch…

Les Ilix’sons ont entretenu l’ambiance musicale tout au long de la soirée, clôturée du bal animé par le groupe bigourdan « Parpalhon » . Le tour de la buvette fut lui aussi très animé par une cantère où l’on pouvait remarquer des bérets venus des quatre coins du Comminges, du Couseran, du Louron  et de la Bigorre voisins.es.

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