Barbazan : Casino : Arthur Hopfner, un homme qui « donne la patate »

Arthur Hopfner entouré de S. Michel et S. Rodier

Dans le cadre des présentations littéraires, le casino invitait ce samedi 22 avril, Arthur Hopfner pour la sortie de son dernier ouvrage : Jacques Mandrier commando marine (tome 1) (https://www.petiterepublique.com/2023/04/19/presentation-litteraire-au-casino-de-barbazan-arthur-hopfner/).  

Lorrain d’origine et élevé au milieu des chorons, l’homme est un solide gaillard qui reste positif dans toutes les situations, même les plus délicates.

La tête plus forte que le corps

Habitué des conférences, tant en entreprise, qu’au sein de l’Education nationale, Arthur Hopfner captive son auditoire, réduit ce soir là en raison d’un bug informatique au casino. Une belle leçon de vie donnée. Cet ancien béret vert, chef de mission commando, souhaite que chacun d’entre nous ait un projet de vie qui doit se concrétiser par étapes successives. « Si on prend des coups, la tête doit être plus forte que le corps. Ne jamais cocher la case échec ! »De par son ancienne activité, il insiste sur la force du collectif, car tout seul, on ne peut rien faire.

Comme il le dit lui-même, il est passé de l’ombre à la lumière. L’ombre, c’était le culte du secret lors de ses missions, d’exfiltrations de personnalités, d’arrestations de terroristes, entre autres. La lumière, il l’a rencontrée en la personne de sa seconde épouse qui l’a poussé à publier son premier manuscrit. Toute sa vie actuelle est partie de là.

Ses romans s’inspirent de son vécu. Pour écrire, il a besoin de s’identifier à son héros, ainsi il parle à la première personne.

Jacques Mandrier commando marine (tome 1)

Après vingt ans au sein des commandos marine, Jacques Mandrier aspire à une existence plus sereine auprès de sa femme et de son fils. Pourtant, la vie va en décider autrement. Meurtri au plus profond de son âme, il va devoir puiser en lui force et courage pour ne pas sombrer dans le désespoir ni s’égarer dans une vengeance aveugle. Paris, Arabie saoudite, Irak, Polynésie, Argentine, Syrie… Le destin de Jacques Mandrier ne va pas seulement le conduire à travers le monde, mais également à se relever du pire, à forger d’indéfectibles amitiés et à retrouver le bonheur qui lui a été arraché.

Et la phrase de la fin : » toujours avoir des rêves plein la tête afin de se sentir vivant ».

Vous pouvez le retrouver sur Facebook : https://www.facebook.com/moiiarthur

 

 

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