Prix départemental de la laïcité 2017.

Le Département récompense les acteurs du territoire qui œuvrent pour la laïcité. Lamasquère, Cintegabelle, Saint Sulpice sur Lèze et Lacaugne parmi les lauréats.

Samedi 9 décembre à 11h, Georges Méric a remis le prix départemental de la laïcité 2017, qui récompense les initiatives visant à promouvoir la laïcité et les valeurs républicaines en Haute-Garonne.

Au total, 9 prix ont été décernés, dans trois catégories distinctes : établissements scolaires, associations et collectivités.

L’ALAE de Lamasquère (accueil de loisirs associé à l’école) a reçu le 1er prix de la catégorie « établissements scolaires » pour ses différentes actions de sensibilisation des enfants à la problématique de la laïcité comme la réalisation d’un « mur d’expression » sur la laïcité.
L’école Sauzelong qui a permis à ses élèves d’élaborer une charte de la laïcité avec leurs propres mots et l’ALAE de Saint-Sulplice sur Lèze ont également été récompensés.

Dans la catégorie association, les Compagnons du Tour de France ont reçu le premier prix pour avoir réalisé une œuvre sur la laïcité tandis que l’association « Loisirs, éducation et citoyenneté Grand sud » et le Foyer rural du Cintegabelle ont également été distingués lors de cette cérémonie.

Parmi les collectivités, la mairie de Colomiers a été récompensée pour l’organisation de tables rondes sur la laïcité avec les collégiens de 3ème de la commune.
La commune de Montrabé a également été distinguée pour les interventions scolaires des élus municipaux sur le thème « République et citoyenneté » et la remise du livret du « petit citoyen » aux classes de CE2, CM1 et CM2 de l’école de Montrabé.
Enfin, la commune de Lacaugne a reçu un prix pour avoir inauguré « la place de laïcité » au centre du village lors de la journée citoyenne du 21 mai 2016.

« Je me réjouis de récompenser l’engagement des acteurs du territoire pour la défense et la promotion de la laïcité, notamment auprès des jeunes.
La laïcité est l’affaire de tous et chaque initiative participe du devoir qui est le nôtre en tant qu’institution de s’emparer de ce sujet primordial pour préserver le vivre ensemble de notre société » a déclaré Georges Méric.

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