Nadia Bakiri, une conseillère régionale de terrain

Toujours sur le terrain, la conseillère régionale Nadia Bakiri était ce mardi à Muret où elle a repéré, sur une vitrine, un message très à propos avec le combat qu’elle mène. Elle a l’œil et le sens politique !

Ni une ni deux, elle entre dans la boutique de chaussures des allées Niel (Cinco 5) pour échanger avec la commerçante.

Déléguée à l’Egalité Femme/Homme et à la lutte contre les violences faites aux femmes, Nadia Bakiri a fait de la lutte et de la sensibilisation contre les violences sexuelles et sexistes son cheval de bataille.

Dans un contexte où celles-ci sont exacerbées, que ce soit dans le cadre scolaire ou intrafamilial, la conseillère régionale porte une attention particulière aux actions insuffisantes d’un gouvernement qui avait pourtant fait de ce combat la grande cause du précédent quinquennat.

Nombre d’associations et d’acteurs de terrain observent en effet une augmentation des violences au sein de la famille, notamment des cas d’inceste et des viols commis au sein d’établissements scolaires.

Face à ce constat alarmant, la conseillère régionale porte ainsi, à la tête de sa délégation un ensemble de dispositifs de prévention et de signalement, en lien avec de multiples partenaires parmi lesquels les forces de police, l’Education nationale et le monde juridique.

Depuis 2017, le dispositif « Génération Egalité » permet par exemple de sensibiliser les lycéennes et lycéens aux questions de lutte contre les violences sexistes et sexuelles et de déconstruction des stéréotypes.

Unique en France, ce programme, qui promeut également une vie affective égalitaire et respectueuse, a déjà touché plus de 150 000 élèves à travers la Région Occitanie.

Profondément engagée dans ce combat et dans la défense des personnes les plus vulnérables, Nadia Bakiri démontre ainsi une loyauté sans faille aux actions de la Région Occitanie qui a fait de la lutte pour l’égalité Femme/Homme et contre toutes les formes de violences sexuelles et sexistes une de ses priorités.

Force est de constater que cet engagement et les actions concrètes qui en découlent, permettent de pallier le manque d’intervention de l’Etat sur un sujet pourtant crucial.

« Quand on est en responsabilité et qu’on a une visibilité politique, il faut affirmer nos valeurs et affirmer nos choix, les nôtres sont clairs : protéger nos jeunes et permettre à toutes et à tous de vivre pleinement, en liberté et en sécurité. » précise Nadia Bakiri.

Dans ce territoire du muretain où l’extrême droite a fait des scores particulièrement élevés aux dernières élections, l’élue nous rappelle que les élus régionaux du Rassemblement National ont systématiquement voté contre l’attribution de subventions aux associations de lutte contre les violences faites aux femmes.

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