Communiqué de presse
Le 17 octobre, l’Union Départementale des Associations Familiales de la Haute-Garonne (Udaf 31), a célébré ses 80 ans d’engagement au service des familles, des personnes vulnérables et des associations familiales du département, lors d’un événement exceptionnel organisé au Pavillon République-Conseil départemental à Toulouse. Plus de 150 personnes – bénévoles, professionnels, partenaires institutionnels et associatifs – se sont réunies pour marquer cet anniversaire et réaffirmer la place centrale de l’Udaf dans la vie sociale et solidaire de la Haute-Garonne.
Un héritage ancré dans l’histoire, un avenir tourné vers l’innovation
Fondée en 1945, en même temps que la Sécurité sociale, l’Udaf 31 incarne depuis huit décennies la voix des familles et leur force collective. « Ce qui se trouve au cœur de l’humanité, ce sont les familles, a rappelé Bruno Spitz, président de l’Udaf 31. Nos professionnels, engagés au quotidien, travaillent sur le plus difficile : l’humain, avec l’humain, pour l’humain. » Un engagement qui se traduit par des actions concrètes : en 2024, ce sont 7 041 familles ou personnes qui ont bénéficié des services de l’Udaf, qu’il s’agisse de protection juridique, de conseil budget, de médiation ou d’accueil en crèche.
Bernard Tranchand, président de l’Unaf, a tenu à souligner le rôle des 71 associations qui composent l’Udaf 31: « Leur enracinement et leur diversité construisent la légitimité de notre parole. » Grâce à l’action de 150 bénévoles, ces associations défendent les familles dans les instances de représentation et au sein du Conseil d’administration.
Des témoignages marquants, une reconnaissance unanime
La célébration a été rythmée par des interventions inspirantes de partenaires institutionnels, saluant la qualité de l’action de l’Udaf, la solidité de ses valeurs et son rôle essentiel sur le territoire. Ces discours ont été ponctués par la présentation de l’Udaf, par son Président – Bruno Spitz, de son histoire, ses valeurs, ses acteurs, ses actions et ses objectifs pour les années à venir.
Les discours qui ont marqué la soirée
• Alain Gabrieli, Vice-président du Conseil départemental : « L’Udaf, c’est l’âge de la vitalité, de la conviction et de l’utilité publique. Elle joue un rôle essentiel pour que les familles ne se sentent jamais seules. »
• Daniel Rouge, Adjoint au Maire de Toulouse : « Le travail de l’Udaf, souvent invisible, est un travail de patience, de bienveillance et d’humanité. Il aide les familles à retrouver leur place dans la société. »
• Laurent Nguyen, Président de la Caf de Haute-Garonne : « La Caf et l’Udaf sont nées du même projet politique pour les familles. La représentation familiale dans les caisses de la Sécurité sociale est essentielle pour faire vivre le paritarisme et la démocratie sociale. »
« Ces messages nous honorent et confirment la place essentielle que tient l’Udaf auprès des familles et de l’ensemble de nos partenaires institutionnels et associatifs » soulignent Emilie Négrier, Directrice Générale de l’Udaf 31
Une soirée de convivialité et de solidarité
Après les discours, la célébration s’est poursuivie avec la pièce de théâtre « Paroles de parents », mise en scène par la Compagnie Miréno. À travers une fresque sociologique, cette création a donné vie à une mosaïque de témoignages, du temps de la gestion familiale au troisième âge, dans laquelle chaque parent peut se reconnaître.
La soirée s’est achevée par un dîner, rythmé par des animations du Comité des fêtes de l’Udaf 31. Une ambiance chaleureuse où salariés, bénévoles, associations et partenaires ont pu échanger et célébrer leur engagement commun. « Cette soirée a montré que l’Udaf est une grande famille, un bâtisseur de lien, de solidarité et d’espoir», a résumé Pierre Lacaze, Vice-président du Conseil Régional.
L’Udaf 31 : un acteur incontournable pour les familles
À travers cet anniversaire, l’Udaf 31 réaffirme son rôle d’expert et de partenaire des familles, des institutions et des associations. « Nous sommes résolument tournés vers l’avenir, avec la conviction que notre action collective est plus que jamais nécessaire », a conclu Bruno Spitz.
