Une fois n’est pas coutume, Chantal Manent, responsable du club randonnée Cla’Rando du foyer rural, emmenait avec elle vingt et un randonneurs ce samedi 4 octobre, pour une visite de la ville rose. Le trajet se faisait en train Lio au départ de la gare de Montréjeau/Gourdan-Polignan.
Dès L’arrivée à la Gare Toulouse Matabiau, la petite troupe plongeait dans l’effervescence toulousaine, filant par la Rue Bayard pour rejoindre la Place Jeanne d’Arc. Elle continuait par la petite rue Bellegarde jusqu’à la Basilique Saint-Sernin, un joyau de l’art roman.
Un peu plus loin, c’est la place du Capitole avec son l’Hôtel de ville et l’opéra. L’étape suivante, fut le Couvent des Jacobins où l’émerveillement a été à son comble devant l’incroyable voûte de pierre et le spectaculaire pilier donnant l’illusion d’un « palmier »
Le piquenique prairie des filtres
Le parcours longeait ensuite les berges de la Garonne vers le Quai de la Daurade. La traversée du Pont Neuf, qui est en réalité le plus ancien, ouvrait une belle perspective sur le fleuve.
L’heure du déjeuner arrivait, la vaste Prairie des Filtres fut le lieu idéal pour un pique-nique décontracté.
Après ces agapes, la marche se poursuivait le long du Quai de Tounis jusqu’à la pittoresque place des Carmes. Là, la promesse d’un petit café a été tenue, offrant une pause conviviale dans l’atmosphère animée de ce quartier historique.
On enchaînait la cathédrale Saint Etienne, la place Saint Georges, ses terrasses de café et son ambiance unique.
La violette de Toulouse
la place Wilson puis les larges Allées Jean Jaurès, aménagées en « ramblas», permettaient de faire une pause gourmande avec la dégustation du célèbre Fénétra de la Maison Pillon. Chacun a pu partager et savourer cette pâtisserie toulousaine.
Cette randonnée se terminait sur le Canal du Midi, où est amarrée la Péniche de la violette. Un lieu original et paisible avant de rejoindre la gare Matabiau pour regagner le Comminges.
« La journée fut un enchaînement réussi de monuments historiques, d’espaces verts, de convivialité et de moments de pause. Elle offrait aux randonneurs de Cla’Rando un superbe aperçu du patrimoine et de l’atmosphère unique de la ville rose « Ô Toulouse », conclut Chantal Manent.
