Hélène Ségara était ce samedi soir 30 août, l’invitée du casino de Barbazan (https://www.petiterepublique.com/2025/08/28/barbazan-helene-segara-en-concert-et-son-actualite/) . Un concert en plein air qui réunissait plus de 600 personnes.
Stéphane Rodier, directeur du casino et toute son équipe, la mairie de Barbazan et Idéal 31 ont croisé les doigts jusqu’au bout pour que la météo soit bonne. On se rappelle qu’en 2024, un gros orage avait empêché la tenue du concert « Salut les p’tits clous », les risques des spectacles en plein air.
C’était une semaine chargée pour le casino qui accueillait la même semaine, le tournage d’un court-métrage (https://www.petiterepublique.com/2025/08/24/casino-de-barbazan-silence-on-tourne/).
En première partie, une jeune et prometteuse chanteuse, ClemStance Caldarella, 15 ans. 
Ajaccienne, elle est venue avec son papa Alain, régisseur. « Cela fait maintenant cinq ans que je prends des cours de chant ». Oui, mais elle chante depuis toute petite et son rêve, faire carrière. Elle a déjà trois single à son actif. ClemStance a déjà fait les premières parties de Joyce, Kendji Girac, Jean-Baptiste Guegan, entre autres. Durant vingt minutes avec une grande aisance sur scène, elle a fait vibrer le public avec ses propres chansons ainsi qu’avec des tubes d’autres chanteurs.
Place à présent à la vedette de la soirée, Hélène Ségara. Accompagnée de quatre talentueux musiciens (guitare, basse, clavier et batterie), la chanteuse déroule dix-huit chansons avec un grand professionnalisme.
Entre Hélène et les musiciens, entre Hélène et le public, c’est une grande complicité. Des chansons à elle bien entendu reprises par les fans, fans qui pour certains étaient là depuis huit heures le matin afin d’avoir les meilleurs places ! Des chansons des autres, notamment de Joe Dassin et de Dalida pour le final. Et un moment d’émotion rendu par le duo interprété avec Andrea Bocelli, « Vivo Per Lei ».
Des salves d’applaudissements à chaque titre !
A la fin du concert, et avant la séance d’autographes, l’artiste recevait Petite République et la correspondante du quotidien régional. Celle-ci avait préparé plusieurs questions auxquelles Hélène répondait avec beaucoup de gentillesse.
« Chanter en plein air est très porteur, c’est une autre ambiance. Il y a une réelle proximité avec le public. »
« Je n’ai pas de regret sur ma carrière. Il faut rester soi-même. »
La chanteuse revient sur son voyage au Canada où elle a donné un grand concert avec notamment Garou. « Au-delà de la musique, ce fut un grand moment d’émotion de retrouver mes compagnons de Notre dame de Paris. »
Pour elle, c’est l’humain qui compte avant tout. « Les machines nous déconnectent de l’humain. J’ai peur de ne plus avoir les mêmes valeurs dans l’avenir ».
Hélène Ségara s’envole pour la Chine au milieu de cette semaine pour donner une série de concerts. Bonne chance Hélène au pays de l’Empire du milieu.
