Montréjeau : Les ACM ont le vent en poupe

Après seulement un an d’existence, le local de la rue du Barry était trop petit pour les ACM. Un nouveau local presque quatre fois plus grand est loué.

Les Ateliers créatifs montréjeaulais (ACM), chers à Marielle Eychenne, ouvraient leur première boutique de 35 m² voilà un an, rue du Barry.

Très rapidement l’espace était trop petit. En décembre 2020, un local de 120m² était trouvé au 5, rue Médéric Ebelot (derrière la mairie). La décision d’en faire un Espace Jeunesse était prise pour réaliser un Espace jeunesse.

Cet Espace Jeunesse propose aux 6/22 ans des activités adaptées à chacun.

Des financements privés

Les parents nous avaient fait la réflexion : pas d’occupation proposée par la municipalité autre que le sport. « Notre Association apporte une réponse pour beaucoup. Actuellement les financeurs sont des financeurs privés », précise Marielle.

Pour faire fonctionner ces ateliers, trois bénévoles travaillent autour de Marielle qui coordonne l’ensemble.

De la diversité dans ce qui est proposé

Un endroit est réservé pour les jeux de société et une bibliothèque. Ces occupations viennent compléter les travaux d’aiguilles.

Dans les loisirs créatifs, on peut trouver de l’initiation au dessin, des sorties, des séjours culturels, des stages, des animations locales, etc. D’autres propositions verront le jour au fil du temps.

Quand ?

Cet été l’Espace Jeunesse ouvre le mardi, mercredi, vendredi et samedi de 14h30 à 17h30.

Si le temps le permet il y aura des ateliers au lac face à la plage. Le prochain sera le 28 Juillet de 10h à 12h et de 14h à 18h. La MJC participe également à ces ateliers de plein air.

Tous les jeunes sont accueillis sans distinction.

Appel aux bénévoles

Toutes ces activités proposées pour les jeunes demandent de la disponibilité de la part des bénévoles. Ces derniers sont recherchés pour la rentrée de septembre. Contact : Marielle : 06 14 61 94 26 / Facebook : https://www.facebook.com/acm.montrejeau

 

 

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2 réponses

  1. La MJC reconnaît la passion, le travail, l’engagement, l’investissement de toute nature de Marielle EYCHENNE et des autres bénévoles qui l’entourent. La MJC s’efforce aussi d’obtenir cette même reconnaissance auprès de tous ses partenaires institutionnels (municipalité, communauté de communes, conseil départemental,
    CAF, réseau MJC) qui, pour plusieurs d’entre-eux, ne reconnaissent pas ACM emt sa présidente comme partenaire mais comme prestataire. La MJC accomplit des démarches dans cette perspective jusqu’à se mettre en difficulté auprès d’eux qui estiment être jugé des acteurs de la politique jeunesse. Cependant, il est faux de dire que l’association ne repose que sur des fonds privés. Au-delà de la rédaction des statuts d’ACM, de la mise à disposition de nombreux matériels (ex machines à coudre, surgeteuse), du règlement de fournitures d’arts créatifs, de l’organisation et du co-encadrement des sorties et séjours et du prêt de son véhicule de transport, la MJC apporte 6000€ par an au fonctionnement de l’association. Cette somme est composée de deux subventions du Conseil départemental sollicitées et gérées par la MJC et qui rend compte annuellement de son emploi à cette collectivité locale. Il s’agit donc d’argent public. Enfin, la MJC ne peut s’impliquer et soutenir les actions d’ACM au profit des jeunes de Montréjeau, qu’en raison du soutien municipal apporté à la MJC qui est une autre source de financement public. Enfin, il a été décidé lors de la dernière AG de la MJC, à laquelle Marielle EYCHENNE a participé, que la MJC réinvestirait les économies réalisées en quittant son bureau d’accueil dans un espace jeunesse mutualisé.
    Nous pensons précisément que c’est dans une mutalisation de ressources, organisée et fixée dans une convention, que nous parviendrons à assurer des services à la population qu’une association seule ne pourrait rendre.

    Fabien GUENET, directeur de la MJC de Montréjeau

  2. La MJC reconnaît la passion, le travail, l’engagement, l’investissement de toute nature de Marielle EYCHENNE et des autres bénévoles qui l’entourent. La MJC s’efforce aussi d’obtenir cette même reconnaissance auprès de tous ses partenaires institutionnels (municipalité, communauté de communes, conseil départemental,
    CAF, réseau MJC) qui, pour plusieurs d’entre-eux, ne reconnaissent pas ACM emt sa présidente comme partenaire mais comme prestataire. La MJC accomplit des démarches dans cette perspective jusqu’à se mettre en difficulté auprès d’eux qui estiment être jugé des acteurs de la politique jeunesse. Cependant, il est faux de dire que l’association ne repose que sur des fonds privés. Au-delà de la rédaction des statuts d’ACM, de la mise à disposition de nombreux matériels (ex machines à coudre, surgeteuse), du règlement de fournitures d’arts créatifs, de l’organisation et du co-encadrement des sorties et séjours et du prêt de son véhicule de transport, la MJC apporte 6000€ par an au fonctionnement de l’association. Cette somme est composée de deux subventions du Conseil départemental sollicitées et gérées par la MJC et qui rend compte annuellement de son emploi à cette collectivité locale. Il s’agit donc d’argent public. Enfin, la MJC ne peut s’impliquer et soutenir les actions d’ACM au profit des jeunes de Montréjeau, qu’en raison du soutien municipal apporté à la MJC qui est une autre source de financement public. Enfin, il a été décidé lors de la dernière AG de la MJC, à laquelle Marielle EYCHENNE a participé, que la MJC réinvestirait les économies réalisées en quittant son bureau d’accueil dans un espace jeunesse mutualisé.
    Nous pensons précisément que c’est dans une mutalisation de ressources, organisée et fixée dans une convention, que nous parviendrons à assurer des services à la population qu’une association seule ne pourrait rendre.

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